Caravane FONDAKA

BONDOUKOU

La cérémonie de remise des attestations aux apprenantes de cette localité s’est tenue dans l’enceinte de l’établissement où seront dispensés les cours d’alphabétisation. Après les mots de bienvenue adressés par la 3ème adjointe au maire (image 1), elle a félicité l’initiative de FONDAKA surtout que cette localité a un taux élevé d’analphabètes

Caravane FONDAKA

BONGOUANOU

Après les salutations d’usage, les nouvelles ont été demandées et données. La délégation de FONDAKA a reçu les bénédictions du chef du village ainsi que celles des femmes. 

Caravane FONDAKA

PRIKRO

FONDAKA était attendu à Prikro avec impatience. Cela s’est traduit par l’implication des autorités de la localité. En effet, la présidente de l’amicale des femmes, le maire résident, les autorités locales avec à leur tête le premier représentant en la personne de la préfète de région.

Caravane FONDAKA

BOUAKE

L’étape de Bouaké s’est tenue dans l’enceinte du groupe scolaire ASAKAFAT.
A cet effet, les 2 groupes de femmes issus de 2 quartiers différents ont convergé vers ce lieu pour y recevoir leurs kits. Le président de l’UCAMCI-BOUAKE (Union des Cadres Musulmans de Côte d’Ivoire), les présidents des 2 quartiers et l’imam de la mosquée de ASAKAFAT…

Message du fondateur KONÉ AVICENNE

Grâce à FONDAKA, nous avons formé 100 jeunes en 4 mois…

Financé à 97% par la Fondation Koné Avicenne (FONDAKA), le projet représente aujourd’hui 4 millions d’euros. Ses ateliers (équipés de matériel acheté à Dubaï) et sa soudeuse FS50 pour fibre optique permettront aux bénéficiaires d’acquérir des compétences durables. L’idée naquit de l’observation de jeunes Béninois, Togolais et Ghanéens réinsérés avec succès sur mes chantiers.

L’histoire de Yéo (mon vigile devenu technicien) m’inspira pour viser 10 000 bénéficiaires en alphabétisation. Mon livre « Comment démarrer une entreprise à succès » synthétise 36 ans d’expérience entrepreneuriale. Le Groupe Scolaire Avicenne accueille un incubateur gratuit, et un futur centre numérique à Yamoussoukro intégrera l’IA.

À 23 ans, j’avais présenté le modèle Marshall-Lerner qui m’exempta de cours et valut mon Master of Arts in Development Banking. Au soir de ma vie, je partage ces savoirs qu’Allah m’a accordés – ayant réalisé tous mes projets sans corruption. Alors que d’autres visent la présidence, je choisis d’offrir à des millions de jeunes les moyens de leur autonomie.

Nos activités FONDAKA

PAAFF

Le Projet d’Aide à l’Alphabétisation Fonctionnelle des Femmes a pour objectif de renforcer les capacités des femmes à travers l’alphabétisation fonctionnelle afin de favoriser leur autonomisation personnelle, sociale et économique.

PAFJ

Le Projet d’Aide à la Formation et à l’Insertion des Jeunes par l’Auto-emploi a pour objectif de favoriser l’insertion socioprofessionnelle des jeunes à travers des formations pratiques menant à l’auto-emploi et un accompagnement à l’installation.

PAREMSU

Le Projet d’Aide à la Recherche de l’Excellence en Milieu Scolaire et Universitaire a pour objectif de promouvoir l’excellence académique et scientifique à travers un appui concret aux élèves, étudiants, chercheurs et établissements de formation.

PASB

Le projet d’Accompagnement et de Soutien à l’Insertion des Bénéficiaires de FONDAKA a pour objectif de favoriser l’insertion sociale et professionnelle durable des bénéficiaires du programme FONDAKA à travers un accompagnement personnalisé et structuré

Pépinière d'Entreprise

FONDAKA a décidé d’opérer un atelier de travail en informatique, spécialisé en reconditionnement et réparation d’ordinateurs, d’écrans et d’imprimantes

Contactez

Le Fondation Koné Avicennes

Téléphone

+225 27 22 49 27 54
+225 27 22 49 27 55
FAX : +225 2722492756

Plan d'accès

Groupe Scolaire AVICENNES, quartier Riviera, Abidjan Cocody
BP 403 Cidex 3

Email

fondationfondaka@gmail.com
contact@fondaka.net

Message du Président Fondateur KONÉ AVICENNE

Je voudrais avant tout propos m’excuser pour les propos qui seront tenus dans ce document et exprimer mon infinie reconnaissance au Seigneur tout-puissant, à ma famille (grande famille Agohi et particulièrement à mon défunt oncle Philippe Agohi, ex-directeur du Matériel et des Travaux Publics, et à ma famille nucléaire – mon épouse et mes quatre adorables filles), ainsi qu’à quelques membres de la grande famille feu Koné Amara et à un être exceptionnel, le premier président de la Côte d’Ivoire qui m’a offert la chance inouïe de me prendre en charge. Depuis notre rencontre en septembre 1978, à peine avais-je répondu à sa question sur mon établissement scolaire qu’il fit appeler le ministre de l’Éducation nationale Paul Akoto Yao pour m’inscrire au Lycée scientifique de Yamoussoukro dont j’ignorais l’existence.

Je voudrais signaler que seul le Président Houphouët avait la prérogative de contourner la règle d’admission officielle qui consistait à recruter les meilleurs élèves en sciences (Mathématiques et Physique) de tous les lycées et collèges de la Côte d’Ivoire, sans distinction de race, de niveau social, de religion ou de nationalité, mais uniquement des garçons. Dans ce système compétitif, le plus difficile était de se maintenir : les plus fragiles devaient rejoindre d’autres établissements. Le directeur Lacabane m’inscrivit en Terminale D par précaution, bien que mes notes en physique et mathématiques (de la Seconde C à la Première C) fussent celles du premier de la classe. J’étais tellement heureux de découvrir les installations exceptionnelles que pour moi, il n’y avait aucune différence entre les filières : tout dans ce temple du savoir était féerique – médiathèque, bibliothèque, laboratoires, installations sportives, nourriture, et des enseignants d’excellent niveau.

Bref, la suite est connue : j’occupe le quatrième rang annuel avec les premiers prix en mathématiques et physique, ce qui me valut mon premier surnom de « surdoué des trois continents ». Avec le bac D, je m’inscris en M1 à l’ENSTP nouvellement ouverte à Yamoussoukro. Alors que je découvrais ses laboratoires et l’ordinateur AS 400A, le Président décida que je poursuive mes études au Canada. Il appela lui-même l’ambassadeur Louis Guirandou N’Diaye pour me trouver une université. Dix-neuf mois après mon arrivée à Montréal le 2 janvier 1981, j’obtins mon Bachelor en économie (deuxième surnom de « surdoué »), puis un Master en finance en août 1984 – troisième prouesse en trois trimestres.

Pour revenir au sujet principal : la création de l’Union des Cadres Musulmans en Côte d’Ivoire (UCAMCI) fut actée quand le régime FPI m’arrêta sous l’accusation infondée de détournement (affaire à suivre). J’étais alors Directeur Général du Port Autonome d’Abidjan (PAA), nommé par feu le général Guéi Robert qui m’associait à ses rencontres politiques en me présentant comme futur Premier Ministre. La confiance naquit de ma gestion rigoureuse des dossiers financiers publics.

Notre slogan « DONNER SEUL C’EST PEUT-ÊTRE BIEN, MAIS MUTUALISER LES RESSOURCES ET DONNER SANS PERSONNALISER EST MILLE FOIS MIEUX ET SÉCURISANT » transforma la communauté. Nous soutînmes Radio Albayane (équipements + 2 millions FCFA), déclenchant une collecte record de 72 millions FCFA. Nous créâmes la caisse nationale Zakât, le dîner des cadres du Ramadan, le fonds d’initiative féminine, le projet « 100 FCFA pour un million de fidèles », le Hadj amélioré, et offrîmes des latrines à la MACA et au CHU de Treichville. Je remercie les membres fondateurs, spécialement mon frère Colonel Koné Mamadou dont la cotisation régulière (10 000 FCFA/mois) fut cruciale.

Le projet FEU KONÉ AMARA (ex-CPPMA), dont la première pierre fut posée en 2004, voit enfin le jour après 20 ans. Merci à feu Koffi Vida, son architecte. Nous y ajoutâmes : un château d’eau de 30 m³ pour former aux métiers de l’eau et approvisionner les populations ; la transformation des dortoirs en salles de cours ; un amphithéâtre de 1 000 places ; une piscine ; et un centre de santé « Félix Houphouët-Boigny » offrant des soins à moins de 500 FCFA, dirigé par Docteur Mady.

Financé à 97% par la Fondation Koné Avicenne (FONDAKA), le projet représente aujourd’hui 4 millions d’euros. Ses ateliers (équipés de matériel acheté à Dubaï) et sa soudeuse FS50 pour fibre optique permettront aux bénéficiaires d’acquérir des compétences durables. L’idée naquit de l’observation de jeunes Béninois, Togolais et Ghanéens réinsérés avec succès sur mes chantiers.

Grâce à FONDAKA, nous formâmes 100 jeunes en 4 mois. L’histoire de Yéo (mon vigile devenu technicien) m’inspira pour viser 10 000 bénéficiaires en alphabétisation. Mon livre « Comment démarrer une entreprise à succès » synthétise 36 ans d’expérience entrepreneuriale. Le Groupe Scolaire Avicenne accueille un incubateur gratuit, et un futur centre numérique à Yamoussoukro intégrera l’IA.

À 23 ans, j’avais présenté le modèle Marshall-Lerner qui m’exempta de cours et valut mon Master of Arts in Development Banking. Au soir de ma vie, je partage ces savoirs qu’Allah m’a accordés – ayant réalisé tous mes projets sans corruption. Alors que d’autres visent la présidence, je choisis d’offrir à des millions de jeunes les moyens de leur autonomie.

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